Histoire de dortoir entre filles coquines

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il y a 7 ans

Le soir, dès que la lumière fût éteinte dans la petite pièce au bout du couloir où dormait la surveillante, Sophie se faufila dans la chambre de Dorine. Sans un mot elle se glissa dans le lit chaud. Dorine l'attira sur elle et l'embrassa doucement sur la bouche. Sophie se coucha sur son amie et, s'appuyant sur ses coudes, se mit à lui donner de légers baisers sur tout le visage. Puis elle se coucha de tout son poids.

Dorine pouvait à peine respirer, mais ce poids était si chaud, si parfumé, si lourd et si doux à la fois... Sophie, la tête enfouie dans le cou de Dorine, se mit à lui caresser les bras. Dorine ne bougea plus, savourant les mains vraisemblablement expertes de son amie.

Les mains de Sophie descendirent et caressèrent les flancs de Dorine. Elles agrippaient le bas de la robe de nuit et se mirent à la tirer vers le haut. Puis, quand la robe de nuit avait dévoilé les petits seins ronds de Dorine, Sophie releva sa propre robe de nuit et se recoucha, peau contre peau. C'est à ce moment-là qu'elle s'aperçut que Dorine portait une culotte. Sa main fila vers les hanches de son amie et elle rencontra une épaisse masse enveloppée de plastique.

Sophie chuchota, d'une voix étonnée et excitée à la fois:

"T'as mis une couche? T'as fait pipi dedans?"

"Non," lui répondit Dorine dans l'oreille, "j'ai pas fait pipi dedans. Je voulais te montrer, parce que tu ne t'es pas foutue de moi quand je t'ai raconté mon secret. Et puis..." Elle suçota le lobe de l'oreille de son amie "et puis, je voudrais que tu me fasses l'amour comme ça..."

"Tu veux faire pipi quand je te caresse, c'est ça?"

Sophie devina plus le "Oui" qu'elle ne l'entendit clairement.

"Je t'aime..." lui dit encore Dorine.

Sophie se sentit la tête légère. Elle était folle amoureuse de la petite brune mais n'avait pas encore osé lui dire. Et voilà que Dorine la devançait!

"Je t'aime aussi..." lui dit-elle encore avant de l'embrasser sur la bouche.

Ce furent les derniers mots qu'elles s'échangèrent avant bien longtemps cette nuit-là. Dorine fit glisser ses mains le long de l'échine de son amie, lui procurant des frissons. Arrivée à la culotte elle l'entraîna vers le bas, jusqu'à ce que l'élastique s'accroche en dessous des fesses. Dorine se mit à malaxer le fessier de Sophie à pleine mains, écartant et puis comprimant les fesses. Ses mains glissèrent encore plus bas, là où les fesses rejoignent les cuisses, puis là aussi, elle se mit à tirer sur les muscles, ouvrant le sexe et l'anus de son amie. Sophie faillit hurler, tant la sensation était agréable. Elle se détendit tout à fait et laissa faire son amie. Son ventre reposait sur la couche enveloppée de plastique, et Sophie sentant que son ventre se couvrait de transpiration à cause du plastique.

Dorine glissa une main entre les fesses de Sophie et rencontra un sexe trempé. Ses doigts habiles suivirent le pourtour de la vulve, puis rencontrèrent le plastique de sa propre culotte. A cet endroit, Sophie transpirait très fort. Dorine eut une idée - qui s'avérerait plus tard être une idée de génie - et, creusant le ventre, fit glisser sa culotte en plastique le long de ses jambes.

Sophie comprit tout de suite ce que Dorine voulut faire et plia les jambes. Dorine remonta la culotte le long des jambes de son amie et la tira jusqu'à ce qu'elle fût bien en place. Sophie qui n'avait jamais rien senti de pareil entre ses jambes se mit à lécher frénétiquement l'oreille droite de Dorine. Son bassin tout entier était comme dans un sauna, transpirant abondamment. Le plastique lui colla à la peau, et lui procura une sensation horriblement vicieuse. Une de ses mains descendit et elle se tâta les fesses et le sexe à travers le plastique. Les élastiques aux jambes et à la taille fermaient hermétiquement la culotte. Puis Sophie se frotta le bas-ventre contre la couche de Dorine. Celle-ci reprit sa gymnastique sur les fesses de Sophie, mais maintenant, quand elle avait écarté les fesses, elle poussa du bout du médius un morceau de la culotte en plastique dans le petit trou de Sophie.

Sophie en gémit de plaisir et redoubla ses caresses et ses baisers. Dorine recommença son manège: elle écarta les fesses, poussait le plastique un peu plus profondément dans l'anus de Sophie, puis relâchait les fesses, puis les pressait l'une contre l'autre, et ainsi de suite. Sophie se laissa glisser à côté de son amie dans le petit lit de pensionnat. Sa main droite fila vers le ventre de Dorine. Elle se mit à lui triturer le nombril, ne sachant pas bien si elle pouvait aller plus bas ou non. Dorine lui prit la main et la glissa de f o r c e dans sa couche. Sophie eut l'impression d'avoir mis la main dans une gangue humide et chaude. Elle sentit un picotement bien connu entre ses jambes.

Une lourde odeur s'élevait de la couche quand elle bougea la main: un mélange de femme, de transpiration, de talc et d'une odeur indéchiffrable, envoûtante, mais qui lui rappelait quelque chose depuis longtemps oubliée: l'odeur des produits que les fabricants mettent dans leurs couches pour neutraliser l'odeur d'urine. Dorine n'avait pas fait pipi dans sa couche, mais elle se dût se mordre les lèvres pour ne pas le faire quand elle sentit la main de son amie se poser sur son sexe. Elle l'embrassa de plus belle, l'encourageant tacitement de continuer son exploration, tandis que sa main à elle se faufila en dessous de Sophie et se posa entre ses jambes, sur le sexe bombé recouvert du plastique souple de la culotte. Sophie frotta instinctivement son sexe sur la main de Dorine. La sensation était inconnue: le plastique diminuait les sensations, mais d'un autre côté, la matière lisse et imperméable l'excitait comme elle l'avait rarement été.

A ce moment elle sentit Dorine creuser les reins, puis s'immobiliser. Tout à coup sa main, toujours enfouie dans la couche de Dorien devint brûlante: Dorine faisait pipi! L'urine coulait le long des doigts de Sophie avant d'être absorbé par la cellulose de la couche-culotte. Elles gémirent en même temps. Puis ce fût au tour de Sophie de se concentrer. Après quelques secondes elles réussit à relâcher son sphincter et à produire un faible jet d'urine. C'est tout ce qu'elle pouvait faire: les tabous de l'éducation étaient si profondément ancrés qu'elle n'arrivait pas à faire pipi étant couchée à plat ventre dans un lit. Mais le liquide fût suffisant pour mouiller entièrement l'intérieur de sa culotte, celle-ci n'absorbant bien entendu rien du tout.

Dorine sentit à la chaleur soudaine que son amie avait fait comme elle et précisa ses caresses: elle fit glisser son médius le long de la fente du sexe, puis, son doigt se mit à décrire des cercles, de plus en plus rapprochés, sur l'endroit où elle sentait le léger renflement du clitoris en dessous de sa gangue protectrice. C'était plus qu'il n'en fallait pour envoyer Sophie au septième ciel.

Elle se raidit et se dressa sur ses coudes, ouvrit la bouche sur un cri muet, écarquilla les yeux comme si elle avait vu un fantôme, et se mit à trembler de la tête aux pieds. Dorine continua son manège tout le temps que dura l'orgasme de son amie. Elle poussa un partie du plastique dans le sexe, simulant une pénétration. Enfin Sophie retomba comme une souche, emprisonnant le bras de Dorine sous elle. Dorine sentit les derniers spasmes du sexe sous ses doigts, puis retira sa main. Sa vessie était pleine et elle se trouvait devant le dilemme: aller à la toilette et rompre le charme - et en plus risquer des ennuis avec la surveillante - ou se laisser aller tout à fait dans sa couche, où la main de Sophie se trouvait toujours.

Ce fût Sophie qui en décida. Quand elle eut repris son souffle, sa main s'agita de plus en plus vite dans la couche de Dorine. Puis elle appliqua sa main gauche sur le ventre nu de son amie, juste au dessous de l'os pubien, et se mit à presser de plus en plus fort. Dorine gémit, la tension dans sa vessie devint intenable et Sophie paru s'en apercevoir, car elle rythmait sa

pression, envoyant des ondes de plaisir dans l'abdomen de son amie. Dorine ne tint que quelques minutes, laissant accroître la pression dans sa vessie jusqu'à ce qu'elle n'en pouvait plus. Parallèlement à la pression dans son ventre, son excitation sexuelle était à son apogée, puis, quand Sophie f o r ç a sa langue entre ses lèvres en un baiser passionné, elle se laissa aller, tant à faire pipi, qu'à jouir. Les lèvres de Sophie scellèrent heureusement les siennes, car sinon Dorine aurait crié comme une noyée.

Elle vit un feu d'artifice se déclencher et son corps se transforma en un énorme sexe d'où giclait, avec d'énormes secousses, un liquide brûlant et odorant... Son bassin se secouait frénétiquement contre la main de Sophie sans qu'elle se rende compte. Puis elle retomba, inerte. Il lui fallut plusieurs minutes avant de retrouver ses esprits. Elle crut d'abord avoir rêvé, puis entendit la respiration de Sophie à côté de son oreille.

Elle se réalisa alors qu'elle avait souvent rêvé cette scène et ressenti ces sensations, mais que cette fois-ci, les sensations entre ses jambes étaient réelles et ne disparaissaient pas quand elle ouvrit les yeux...

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